
Tengo Suenos eléctricos (J’ai des rêves électriques), un titre à la hauteur de la fulgurance du récit de ce premier film belgo-franco-costaricain de Valentina Maurel. La cinéaste brosse le portrait d’une jeune fille, Eva, seize ans. Elle pose à travers ce portrait un regard éclairant sur un fait de société, la violence intra-familiale à travers l’amour des proches. Un sujet rare et maîtrisé de bout en bout dans une intelligence narrative toute en finesse, flirtant parfois avec l’indicible existentiel.
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