
Ce 24 février avait lieu la 48ème Cérémonie des Césars récompensant le cinéma hexagonal. Le thriller de Dominik Moll, La nuit du 12 en a raflé six dont ceux du meilleur film (deuxième César pour le cinéaste après Harry, un ami qui vous veut du bien) et du meilleur réalisateur. Bastien Bouillon a décroché le César du meilleur espoir masculin, meilleur son François Morel et Luc Thomas. Le Prix de la meilleure adaptation revient à Gilles Marchand et Dominik Moll et celui du meilleur acteur dans un second rôle est attribué à notre Bouli Lanners national, tout ému de « venir de Liège ».
Dominik Moll nous a habitués à des récits fleurant avec un arrière goût de thriller savamment distillé comme Harry un ami qui vous veut du bien, Seules les bêtes… La Nuit du 12 ne déroge pas à la règle et se place d’emblée en haut de l’affiche. Incroyablement palpitant, ce thriller politique traite d’un fait réel, le meurtre non élucidé d’une jeune femme en 2016. Dominik Moll s’est basé sur l’ouvrage 18.3 Une année à la PJ de Pauline Guéna (2021).
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