
Tout commence par un cri devenu Aïta… C’est par ces mots que débute le dernier long-métrage de Nabil Ayouch, Everybody loves Touda. Après Haut et fort (Casablanca Beats), le cinéaste revient vers la musique traditionnelle du XIXème siècle en nous contant l’histoire d’une jeune femme libérée, Touda qui rêve dans le Maroc contemporain de devenir une Cheïkha, chanteuse traditionnelle qui chante la Aïta, « le cri » en Arabe.
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