Dans Rodin, la démarche cinématographique de Jacques Doillon se reflète comme un miroir avec celle d’Auguste Rodin. On imagine aisément le cinéaste réfléchir à la scène et demander à ses acteurs d’évoluer dans l’espace, rectifier un détail, comme peut le faire le sculpteur avec son modelage. Réaliser un film sur Rodin n’est donc pas un hasard, d’autant plus que commencé sur le mode documentaire, le film s’est mué en fiction. Lire la suite
« On recherche quelque chose qui tient de l’invisible, du domaine de l’inattendu parce que la vérité est faite de ça aussi » Jacques Doillon pour Rodin, Compétition Officielle à Cannes
