« C’est agréable d’être un sorcier », Michel Ocelot nous raconte Dilili à Paris

En réalisant Kirikou et la Sorcière, Michel Ocelot offrait un retour sur le grand écran à la poésie et l’intelligence d’une forme d’animation européenne. On retient depuis d’autres long métrages comme Azur et Asmar, et il nous revient avec Dilili à Paris, une jeune kanake qui enquête sur de mystérieux enlèvements de petites filles. Paris en 1900, la Belle Epoque, quoi de mieux pour ce conte enchanteur ? Michel Ocelot, posé, prend le temps d’expliquer sa dernière œuvre, générée par la révolte face aux maltraitances envers les femmes. Lire la suite